Pendant un siècle, le béton des villes a représenté la liberté. La foule cachait l’individu. À l’époque, chacun pouvait rester anonyme. Les transgressions étaient possibles, la ville était belle, avec ses lumières, ses tours et ses immeubles. Pour être heureux, il suffisait de se fondre dans les grands nombres. Aujourd’hui, avec les caméras, c’est autre chose…